Pour mémoire, la «journée de solidarité» consiste pour chaque salarié à offrir une journée de travail, c’est-à-dire à travailler sans rémunération. En contrepartie, l’entreprise doit payer une taxe qui s’élève à 0,3% de sa masse salariale, soit l’équivalent d’une journée de travail. Mais depuis 2008, l'entreprise peut faire le choix de faire travailler les salariés ou d'augmenter de quelques minut...
Le comité central d'entreprise d'EDF a décidé de recourir à une expertise sur le projet controversé de construction par l'électricien de deux réacteurs nucléaires EPR à Hinkley Point (Angleterre). Considérant que "de nombreux documents et réponses leur manquent afin d'être en mesure de formuler un avis éclairé et motivé", les élus du CCE ont voté à l'unanimité une résolution, qui mandate de...
Voltuan regarde le plan à la sortie du métro La Tour-Maubourg, à Paris. Il souhaite se rendre à la manifestation contre la loi travail, mais la station Ecole militaire, d’où part le mouvement, est fermée par les forces de l’ordre. Alors, il faut un peu marcher pour rejoindre les différents syndicats (CGT, FO, Solidaires, FSU, Unef, UNL et Fidl) à l’origine de la mobilisation. Pas grave : «Il ne faut rien lâcher! Je reste optimiste.»
Le métier de livreur à vélo n'est pas nouveau mais depuis quelques semaines, il fait de plus en plus d'adeptes dans les rues de Paris. Ils sont des milliers à travailler pour ces nouvelles entreprises de livraisons de repas à domicile. Elles sont principalement trois en ce moment à se disputer le marché parisien : l''entreprise anglaise Deliveroo, l'allemande Foodora et la belge Take Est Easy.
➔ Votre question au support commercial Success-consulting, il vous recontactera sous peu.